Revue de presse du jeudi 3 février 2011
Égypte:
http://www.lefigaro.fr/international/2011/02/03/01003-20110203ARTFIG00408-violences-en-egypte-paris-appelle-au-retour-des-francais.php
Sarkozy,Merkel, Cameron, Zapatero et Berlusconi demandent une transition immédiate.
Les affrontements entre pro et anti-Moubarak se poursuivent au Caire.
http://www.leparisien.fr/crise-egypte/en-direct-egypte-le-caire-a-des-allures-de-lendemain-de-guerre-03-02-2011-1297967.php
C’est le chaos le plus total en Egypte où des affrontements violents opposent depuis mercredi après-midi des pro et des anti-Moubarak. Des manifestants favorables au régime en place ont chargé à dos de chameaux ou cheval les opposants rassemblés sur la place Tahrir.
http://www.liberation.fr/monde/01012317696-au-moins-trois-manifestants-anti-moubarak-tues-sur-la-place-tahrir-du-caire
La situation reste extrêmement tendue ce jeudi matin.* *Les violents affrontements de mercredi après-midi place Tahrir se sont poursuivis cette nuit, avec à partir de quatre heures du matin des coups de feu. Il y aurait au moins quatre morts et des centaines de blessés.
http://www.humanite.fr/03_02_2011-egypte-lenvoy%C3%A9-sp%C3%A9cial-de-lhumanit%C3%A9-arr%C3%AAt%C3%A9-464216
« *Vers 22 heures, mercredi soir,* j’ai voulu retourner sur la place Tahrir avec d’autres journalistes français (Thomas Cantaloube de Mediapart, **Vincent Lafargue, photographe indépendant, Sarah Mabrouk, JRI indépendante).
Tunisie:
http://www.rue89.com/schneidermann-9-15/2011/02/03/jet-pour-la-tunisie-le-trou-de-memoire-dalliot-marie-188879
« Quand je suis ministre, je suis ministre. Quand je suis en vacances, j’ai le droit d’avoir des amis. L’un d’entre eux a effectivement une compagnie aérienne. »
Syndicats:
http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2011/02/02/04016-20110202ARTFIG00592-la-cour-des-comptes-accable-le-port-de-marseille.php
La Cour des comptes s’apprête à publier un rapport très critique sur le Grand Port maritime de Marseille. Dans ce document, dont Le Figaro a obtenu une version provisoire, les conditions de travail et de rémunération enviables de certains de ses salariés et la situation de «blocage social» du port sont pointés du doigt.