Un premier recensement officiel, mais partiel, des chercheurs « non permanents » (19/12/09)
Un premier recensement officiel, mais partiel, des chercheurs « non permanents »
Un premier recensement officiel, mais partiel, des chercheurs « non permanents » a été effectué par l’Observatoire des sciences et des techniques. Sous réserve d’inventaire du contenu, il faut saluer cette reconnaissance officielle du phénomène.
http://www.cpu.fr/uploads/tx_publications/OST_etude_RH_pers.non_permanents_recherche.pdf
Le champ d’étude recouvre les EPST et les universités. Il ne couvre, d’après le rapport lui-même, ni les EPIC, ni les écoles. Pas plus que les ITA et Biatos ou, semble-t-il, les enseignants chercheurs. Même pour les chercheurs, il ne s’agit que de ceux qui sont officiellement payés par des contrats légaux, ce que le rapport ne cherche pas à dissimuler.
D’après le rapport, dans les limites de son étude et en s’en tenant aux EPST , il y aurait 5 200 « non permanents » sur un total de 22 254 chercheurs (permanents et non permanents). Sur ces 5 200, il y aurait : doctorants (52%), post-doctorants (21%), personnels extérieurs accueillis en détachement (1%), chercheurs étrangers sans distinction entre doctorants et post-doctorants (12%), « autres chercheurs » ( ?) (14.5%).
Il conviendra d’étudier de près cette étude en la confrontant à l’enquête intersyndicale pour des commentaires plus approfondis